
Jean-Marie Périer connu pour ses photos dans Salut les copains, ses livres sur les années 60, ses films, publie en février 2010, le livre Casse-toi ! crève mon fils je ne veux pas de pédé dans ma vie.
Livre contre l'intolérance, il est allé à la rencontre de jeunes chassés par leur famille parce qu'ils sont homosexuels.
Certains parents, lorsqu'ils découvrent l'homosexualité de leur fils ou de leur fille, se déchaînent contre leur enfant : insultes, coups, flicage, séquestrations, tout arrive. Avec, au final, une même conclusion : « T'es gay ? Casse-toi ! » Touché par la détresse de ces adolescents bannis et révulsé par l'aberration d'être puni pour le seul fait d'aimer une personne du même sexe, Jean-Marie Périer, le célèbre photographe des années 1960 et de Salut les copains a eu envie d'agir : en rencontrant ces jeunes venant des quatre coins de France et issus de tous milieux, il s'est engagé à porter leur voix. Pour que l'histoire de Sandra, Antoine Hassan, Jimmy et les autres, rejetés par leurs parents, bouscule les idées reçues. Pour que l'on parle enfin d'homosexualité sans tabou ni mauvaise foi, et qu'au début du XXIe siècle, chacun puisse être libre d'aimer sans avoir peur.
Livre contre l'intolérance, il est allé à la rencontre de jeunes chassés par leur famille parce qu'ils sont homosexuels.
Certains parents, lorsqu'ils découvrent l'homosexualité de leur fils ou de leur fille, se déchaînent contre leur enfant : insultes, coups, flicage, séquestrations, tout arrive. Avec, au final, une même conclusion : « T'es gay ? Casse-toi ! » Touché par la détresse de ces adolescents bannis et révulsé par l'aberration d'être puni pour le seul fait d'aimer une personne du même sexe, Jean-Marie Périer, le célèbre photographe des années 1960 et de Salut les copains a eu envie d'agir : en rencontrant ces jeunes venant des quatre coins de France et issus de tous milieux, il s'est engagé à porter leur voix. Pour que l'histoire de Sandra, Antoine Hassan, Jimmy et les autres, rejetés par leurs parents, bouscule les idées reçues. Pour que l'on parle enfin d'homosexualité sans tabou ni mauvaise foi, et qu'au début du XXIe siècle, chacun puisse être libre d'aimer sans avoir peur.