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bruphi

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“ MA VIE ...MA VIE..ELLE ME RACONTE DES HISTOIRES ” - mardi 14 décembre 2021 16:40
10 kiffs

Création : 03/12/2010 à 15:20 Mise à jour : 05/12/2022 à 16:09

Retour au blog de bruphi

17 articles taggés récit gay

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fiction d'été trouvée sur le net .....

 
fiction d'été trouvée sur le net .....
 
L'éte dernier j'étais allé passer quelques jours dans le camping oú mes parents ont un mobil home á l'année et le soir même de mon arrivée, á l'épicerie, je me retrouve nez á nez avec mon ex prof d'úniversité que j'avais quitté deux ans plus tôt. Il m'invite á manger mais, venant juste d'arriver, je ne peux laisser ainsi mes parents et il remet donc son invitation pour le lendemain soir en me disant de passer de bonne heure afin d'aller á la plage avant...Le lendemain aprés midi je passe donc devant son mobil home oú il m' attendait sur la veranda prêt á partir. Je ne sais pas pourquoi je m'attendais á voir égalemet sa femme avec ses enfants mais, á vrai dire, je ne savais pas s'il était marié et avait des enfants, je m´abstins donc de tous commenatires á ce sujet.
La plage était toute proche, á la sortie du camping, et on parlait de tout et de rien jusqu'a ce qu' il me questionne sur ma vie sentimentale et ma réponse parut le satisfaire lorsque je lui dis que je n'étais ni marié ni fiancé et sans relation en cours, je cûs même deviner un léger sourire sur ses lèvres mais je n'y prêtai pas plus attention que ça...Arrrivé sur la plage je commençai á m'allonger sur ma serviette lorsqu'il décida de me passer de la crème solaire même si je lui dis que je n'en mettais jamais, je n'avas pas encore terminé ma phrase que déjá ses mains me caressaient le dos avec une douceur extrême, j'en ressentis aussitòt des frissons de plaisir, il me fit mettre sur le dos et continua á me passer la créme sur le ventre avec la même douceur......  
 
LA SUITE... SUR LE BLOG SECRET !!!
Tags : récit gay
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#Posté le mardi 12 juin 2012 16:39

Modifié le vendredi 31 août 2012 01:53

Une étonnante rencontre....

Une étonnante rencontre....
 
C'est toujours dans les plus fortes chaleurs de l'été que la climatisation dans la voiture décide de nous lâcher ! Ma petite heure de route entre mon lieu de travail et la villa de mes parents me semble interminable à cause de cette chaleur. En arrivant dans la cour de chez mes parents, je décide, trempé de sueur dans ma chemise et mon pantalon gris, d'aller toucher l'eau de la piscine du bout des doigts. Elle est à température idéale, du coup j'ai très envie de me baigner pour me rafraichir. En entrant dans le local technique de la piscine, je me rends compte que mon maillot de bain n'est pas sur l'étendage et qu'il se trouve donc dans la maison. Je prends la décision de me baigner en boxer pour m'éviter un aller-retour. Au moment de mettre les pieds dans l'eau, je décide de pousser le vice jusqu'au bout et de profiter de l'absence de mes parents pour la semaine entière et celle de tout voisin pour me baigner dans le plus simple appareil. Une fois nu, je plonge la tête la première dans l'eau. L'eau est bonne et j'adore quand elle glisse sur ma peau, surtout au-dessous des bourses. Je me surprends à mater mon ventre plat, mes biceps développés et mes grandes jambes musclées le tout dorés par le soleil.
Les lunettes noires protégeant mes yeux, je fais quelques longueurs, puis la planche. Depuis que je suis bambin, j'adore cette position où le corps est exposé au soleil. Je ferme les yeux et je profite ! Le chant des cigales m'enchante. J'aime ce calme campagnard de temps en temps, loin du vacarme citadin. « Salut ! ». Je tombe en arrière de surprise et me redresse illico quand j'entends cette voix masculine. Je m'aperçois que Luc, un ami de mon père, est juste devant le portillon donnant sur l'escalier qui mène à la piscine. Il me regarde tout sourire. J'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'ai pas entendu sa voiture arriver. J'ai toujours trouvé ce quadragénaire charmant. Il est assez grand, un corps sportif, légèrement poilu sur le torse, les cheveux bruns très courts, une barbe de trois jours et un sourire de tombeur. « Le portail est ouvert donc je suis rentré, il n'y a personne chez toi ? » me demande-t-il de sa voix sexy. Je lui réponds tout en avançant vers le bord de la piscine pour masquer ma nudité, que mes parents sont en vacances et que je suis seul pour la semaine. Il m'explique qu'il est venu emprunter la pelle de mon père pour ses travaux de maçonnerie dans sa future maison. Les bras posés contre les margelles de la piscine, je lui conseille d'aller voir dans le local où mon père stocke ses outils, mais il me répond qu'il y est déjà allé et que la porte est fermée à clé. Un trousseau de clés se trouve dans la maison. Le problème qui se pose désormais est : comment vais-je faire pour sortir sans que Luc se rende vraiment compte que je suis nu ? Du haut des escaliers, Luc me demande d'un ton moqueur : « Tu veux que je te donne ta serviette ? ». Mon regard cherche une éventuelle serviette posée sur les bains de soleil, mais n'en trouve pas. Comprenant mon malaise, Luc me dit : « Je t'attends devant le local si tu préfères ! ». Ouf ! Je vais pouvoir sortir sans être obligé de m'exhiber.
Son regard éloigné, je sors vite de l'eau et j'enfile mon boxer sec sur mon corps mouillé. Je prends mes affaires et vais ouvrir la maison. Je lui donne le trousseau de clés. Pendant qu'il part chercher la pelle, je prends rapidement une serviette dans un placard et je ressors. Le pote de mon père charge l'outil dans sa voiture et revient après que je lui ai proposé de boire une bière.
On s'installe, nos deux bouteilles de bière fraiche à la main, sur les transats et on discute de choses et d'autres. Luc me raconte ses dernières vacances passées en Espagne avec sa copine, devenue ex depuis, où « les filles sont chaudes ! » selon ses dires. « Si j'avais su, j'aurais profité ! » poursuit-il en rigolant. En plus d'être un beau mec, il a beaucoup de charisme. Ses belles paroles et son coté « homme viril » m'ont toujours séduit chez lui.
Au bout de quelques minutes à discuter en plein soleil, il me demande s'il peut piquer une tête. Je lui propose d'aller chercher un maillot de bain dans la maison, mais sa réponse me surprend : « Ne t'embête pas, je vais me baigner en slip. »
Bien sur la suite  du récit est sur mon blog secret, car ça devient chaud...très chaud !!!!
 
Une étonnante rencontre....
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#Posté le vendredi 27 juillet 2012 07:40

l'auto stoppeur ....fiction gay

l'auto stoppeur ....fiction gay
Je reviens de la côte normande, direction Paris. Je conduis mon coupé-cabriolet Peugeot 204. Il est tard. Il fait encore chaud par cette nuit du mois d'août et mon toit est ouvert. Je roule tranquillement, la tête au vent, un peu triste à l'idée de reprendre le travail demain.
Soudain je vois dans mes phares un auto-stoppeur qui fait de grands signes. Je ralentis et le dépasse. Il s'agit d'un jeune homme, grand, brun, torse nu et en short, muni d'un sac à dos. Il est seul et me voyant ralentir, il court dans ma direction. Je ne sais pas pourquoi je m'arrête, car d'habitude je suis méfiant, surtout la nuit et je passe mon chemin.
Il est à ma portière droite, un peu essoufflé, se penche et me demande : « Vous allez à Paris ? » Il a une figure avenante, des épaules larges, un torse glabre et musclé, des mains longues et fines. Je lui réponds spontanément « Oui, montez ». Il ne se fait pas prier, jette son sac à dos à l'arrière et d'un bond souple pardessus la portière, s'assoit à mes côtés. « Merci Monsieur » me dit-il avec un grand sourire charmeur, dégageant des dents blanches et bien rangées, « cela fait une bonne heure que j'attends et j'ai vu passer beaucoup de voitures qui m'ont ignoré ».
Je repars et en passant mes vitesses, je vois ses cuisses poilues, tout près de ma main droite. Cela éveille en moi d'étranges sensations, que d'ordinaire je m'efforce de refouler au plus vite. Cette fois je ne peux m'empêcher de fixer ces jambes et ce torse nu, tout en bavardant. Mon passager s'appelle Aurélien et il a 23 ans. Il est étudiant en droit et reviens de vacances, car il a un examen de rattrapage en septembre et doit réviser. Cela tombe à pic, car je suis avocat et je donne un enseignement pratique à la Faculté de droit. Nous parlons études, examens, avenir. Il est très détendu, les jambes écartées, le genoux gauche touchant presque mon levier de vitesses, la tête en arrière. Je suis de plus en plus troublé.
Dans un virage, en voulant rétrograder, ma main droite heurte son genoux nu. Le contact de cette peau me fait tressaillir et vite je retire ma main. Décidément ce garçon m'attire. Je suis pourtant hétérosexuel et ce n'est pas à 38 ans que je vais changer mes goûts. Mais Aurélien a senti mon trouble et compris ma réaction car soudain sa main gauche se pose sur ma main droite, l'attire doucement vers lui et la pose sur sa cuisse, tout en la maintenant fermement...
la suite ??? elle est sur mon blog v.i.p.
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#Posté le jeudi 30 août 2012 10:25

CHEZ L'OSTEOPATHE ...


   CHEZ L'OSTEOPATHE  ...   CHEZ L'OSTEOPATHE  ...
   CHEZ L'OSTEOPATHE  ...
 
LA  SUITE  ???   Viens sur mon blog  secret .....
 
   CHEZ L'OSTEOPATHE  ...
 
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#Posté le mardi 14 octobre 2014 13:19

Modifié le mercredi 15 octobre 2014 15:20

RECIT ......J'aime les pêcheurs !!!

RECIT ......J'aime les pêcheurs !!!
Ce matin là j'avais décidé de me rendre à la pêche dans un étang situé à une vingtaine de kilomètres de mon domicile.
J'avais mis mon réveil à 6H00
et comptais arriver pour l'ouverture vers 8H00.
Nous étions en début d'automne, les feuilles avaient déjà désertées les arbres et la température matinale était fraiche.
Je pris mon petit déjeuner puis allai me doucher. Mes affaires de pêche étaient prêtes depuis la veille car je souhaitais arriver à l'heure même si à cette période les pêcheurs devaient se faire rares.
J'enfilai un gros gilet nordique en mohair sur lequel je mis un coupe vent, un jean, des bottes et j'étais paré pour une bonne matinée tranquille au bord d'un étang à taquiner la truite.
J'arrivais à 8H00 pile et commençai à déballer tout mon matériel.
J'avais de la chance. Il ne pleuvait pas en cette fin d'octobre.
Le lieu était désert et je n'eu pas de mal à trouver une place qui me paraissait propice à la prise de belles truites.
Je m'installai tranquillement, tout en préparant mes appâts, et mis mes trois lignes à l'eau.
Vers 8H45 le propriétaire, qui devait avoir une soixantaine d'années, vint à ma rencontre pour que je lui paie ma journée. Il déversa dans l'étang, juste à mes pieds cinq truites de belle taille et trois saumons de fontaine en me souhaitant une bonne pêche.
Il était très jovial et nous avons un peu discuté. Il m'avoua que c'était la saison creuse et que ma venue lui faisait plaisir. Il repartit en me souriant.
Je lui rendis son sourire tout en lui admettant que je croisais les doigts pour que je passe une bonne journée....
- Ne t'en fais pas ici tu passeras toujours une bonne journée! me lança-t-il toujours cordialement.
Puis il disparut.
Mes cannes mises à l'eau j'attendais avec impatience d'avoir une touche mais rien ne se produisait.
Vers 9H30 un autre pêcheur s'approcha de l'étang. Il passa près de moi et me salua puis continua son chemin.
Il s'arrêta à une vingtaine de mètres de mon poste et décida de s'y installer.
Il ne manquait pas d'air pensé-je. Il avait tout l'étang pratiquement pour lui et il se plaçait juste à côté de moi!
Je le laissai faire n'ayant pas mon mot à dire.
C'est alors que j'eus une touche! Je me saisis de ma canne à deux mains mais le poisson ne se débattait pas trop et je remontai une truite de petite taille.
Mon nouveau collègue leva son pouce pour me féliciter.
Je le remerciai d'un sourire mais remis la truite à l'eau.
Je n'avais pas eu le temps de remettre ma ligne à pêcher qu'une autre canne donna des signes de touche.
Cette fois ci ma canne se cambrait un maximum et je dus courir pour en prendre possession le plus vite possible.
Le combat dura une bonne dizaine de minutes et je finis par remonter un saumon de fontaine de plus de deux kilos.
J'étais ravi et un peu épuisé. La chaleur automnale avait fait son apparition et je m'étais décidé à ôter mon coupe vent.
Je rangeai le saumon dans ma besace et remis ma ligne dans l'eau.
Mon nouveau collègue s'approcha pour discuter un peu. C'était un homme d'environ 55 ans. J'en avais 48 mais faisait plus jeune.
- Alors, ça mord ce matin?
- Oui on peut dire ça mais ce n'est pas fabuleux. La première était trop petite mais la seconde de belle taille.
Il faut dire que j'aime les grosses.
- Ah bon, tu aimes les grosses? me demanda t - il en souriant.
Je compris son sous entendu mais jouai le jeu.
- Oui si j'ai le choix je préfère les grosses et la journée commence bien!
- Fais voir?
- Je lui montrai ma prise et il me félicita.
- Belle prise. J'espère que tu en auras d'autres. Si tu aimes les grosses je pourrai t'arranger ça!
Il s'approcha de moi. C'était un rustre mais avec beaucoup de charme. Il me dit que j'avais bien fait d'enlever mon coupe vent car il commençait à faire un peu chaud pour peu que l'on ne bouge.
Pendant que je lui montrais mon poisson tout fraichement pêché sa main avait glissé sur mon pull et me caressait le dos très légèrement. Visiblement il ne voulait pas être trop direct mais appréciait la douceur du mohair.
Je me laissai faire et avait bien vu son manège. Je me reculai un peu pour mieux sentir sa main.
Il fut un peu surpris et recula d'un pas.
Je lui souris.
Il retourna voir où en étaient ses lignes et me souhaita bonne chance.
J'en fis de même et lui dis que je le trouvai sympathique.
La matinée passa assez rapidement et nous attrapions chacun de petites pièces.
Soudainement il eut une touche franche synonyme d'un gros poisson.
Je le regardais attentivement et il se débrouillait plutôt bien mais la truite ne voulait pas se laisser faire et cela lui pris du temps à la maitriser.
Après une bonne dizaine de minutes il se saisit de son épuisette pour essayer de l'amener sur la terre ferme.
Seulement, tout seul, il avait bien des difficultés à gérer sa canne et la truite conjointement!
Je me portai à sa rescousse et lui apportai mon aide.
Je me saisis de l'épuisette et en quelques minutes le poisson se retrouva au sec.
C'était une très belle prise.
- Merci l'ami, je crois bien que je ne m'en serais pas sorti seul!
- De rien, si l'on ne peut pas s'aider entre pêcheurs alors où va t on?
Il me remercia à nouveau et comme il était déjà midi me demanda si j'avais prévu quelque chose pour déjeuner. A part un sandwich et un coca je n'avais rien de plus.
- Il y a un barbecue et une table, ça te dirait de manger ce beau poisson?
- Si tu m'y invites alors pas de souci. Je lui fis un clin d'oeil....
LA SUITE C EST PAR ICI ... SUR LE BLOG VIP.
 
RECIT ......J'aime les pêcheurs !!!
 
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#Posté le samedi 25 octobre 2014 16:21

Modifié le dimanche 26 octobre 2014 14:57

Coming out à Noel ....

Coming out à Noel ....Bernard appelle sa maman en lui disant qu'il viendra pour Noël mais avec un ami.
Dans un premier temps elle lui répond qu'il faut qu'elle en parle à son père, car Noël reste une fête de famille et on ne peut pas inviter des inconnus.
Bernard lui fait comprendre que si sa demande est refusée il ne viendra pas.
Finalement sa demande est acceptée.
Chez les Dupont, la fête de Noël est de haute importance. Toute la famille est présente. La soeur de Bernard, et son mari on fait le voyage depuis la Drôme.
Je fais donc connaissance avec la maman et le papa qui parle avec un fort accent allemand, tous les frères et s½urs sont là. Je fais connaissance avec tout ce petit monde...
Je remarque des tableaux accrochés au mur qui sont de toute beauté et peint avec beaucoup de finesse. En fait le papa de Bernard, en retraite maintenant, a fait l'école des beaux art et est devenu. Il expose un peu partout...
Je discute avec ses frères et s½urs qui me demandent si notre colocation à Nancy se passe bien, ce à qui je réponds oui.
Une belle grande table est dressée, avec des décorations de Noël, un sapin décoré avec des sujets en provenance d'Allemagne trône sur le côté de la pièce avec à ses pieds d'innombrable cadeaux, il y a beaucoup de bruit de conversations.
Je me sens à l'aise, j'ai affaire à des gens issus d'un milieu plus aisé que le miens mais simple à la fois.
L'apéritif terminé, nous passons à table.
Je suis installé entre Bernard et Martine la future femme de Serge, le frère aîné de la famille.
Elle discute avec moi, on parle de nos boulots.
La famille aime parler de souvenirs, je ne comprends pas tout, le père truc, la mère machin, et tu te rappel de ci de ça et quand Pascal a pris da DS de papa et l'a mise au fossé...
Les plats passent, le repas est excellent, festif, le père de Bernard fume de temps en temps, il met ses cendres dans un gros cendrier en forme de main retournée qui se trouve devant lui.
De temps en temps il se gratte la tête en disant
« et oui mon vieux aie aie aie ».
Sa femme rigole des paroles de Bernard qui parle de ses bêtises quand il était petit : le vol du vélo, les gendarmes, le petit séminaire, la mise en peinture de la cheminée sur le toit ect ect....
Soudainement, André son beau frère dit à son père :
« Il aurait pu être acteur, il faire rire tout le monde ».
Bernard rebondit :
« Papa à une époque je t'ai demandé de me payer les cours Florent à Paris, te souviens tu de ta réponse ?"
"Heu non ....»
 A ce moment précis plus personne ne parle la pièce est presque silencieuse, les regards sont tous tournés vers Bernard.
« Tu m'as dit non je ne suis pas d'accord pour que tu deviennes acteur tu finiras sur le trottoir sans boulot et tu deviendras surement PD ! »

A part moi, qui suis plus qu'embarrassé, personne ne devine ou veut en venir Bernard...

Ben voilà, j'ai un truc à te dire Papa, je ne suis pas acteur, j'aurais pu l'être j'en suis sûr, mais par contre je suis PD et Lionel c'est mon petit ami depuis le mois de mai !!!
 Le silence se fait entendre dans la salle à manger mais pas pour longtemps...
Evelyne, sa soeur chez qui nous avons passés une semaine dans le Drôme en Juin, se lève et dit avec un sourire éclatant :
« Mais alors quand vous êtes venu chez moi je ne savais pas, vous n'avez pas pu dormir ensemble ça a dû être dur ? »

Bernard répond du tac au tac:
« Ta cabane de jardin doit pouvoir te répondre !... »
Fou rire général !!!
On me souhaite la bienvenue, les discutions reprennent leur cours mais cette fois les questions sont plus précises...
Vous vous êtes rencontrés quand ? comment ? et avant etc.... ???
Au moment de la distribution des cadeaux, Bernard informe sa famille que c'est le jour de mon anniversaire, et oui je suis né un 24 décembre, ce soir là j'ai 21 ans.
Les s½urs fouillent dans les placards et elles arrivent à mettre la main sur des anciennes bougies d'anniversaire. Elles sont plantées dans la bûche et je les souffle alors que les autres membres de la famille applaudissent.
Mes parents n'ont jamais fait mon anniversaire c'était interdit chez les témoins de Jéhovah !
Décidément, quel accueil ça me change !
Depuis cette date, tous les ans à Noël, Evelyne à toujours pensé à mon anniversaire, sur la liste de course elle inscrivait toujours « des bougies pour Lionel »
Une bouteille de champagne fut ouverte, j'ai vu belle maman récupérer le bouchon et inscrire dessus au stylo ; Première visite de Lionel. Elle rangea ce dernier dans un tiroir du buffet de la salle à manger qui en contenait déjà pas mal.
Les parents de Bernard, sont devenus mes parents adoptifs.
A ces s½urs parfois curieuses Annie répondait c'est mon fils adoptif.

A la maison, dans notre entrée, nous avons un dessin de papa dans un cadre. C'est en fait une carte de v½ux pour l'année 1989.
Sur le recto il a dessiné un Père Noel, Bernard et moi  avec un micro. Nous sommes plantés devant l'homme rouge et blanc qui déclare de façon solennelle :« Autant célébrer la cérémonie nuptiale toute suite ! »
A l'intérieur il a écrit « Chers enfants, Excusez les plaisanteries du vieux bonhomme, mais il vous souhaite avec Annie la réalisation de vos rêves les plus fou et une bonne année 1989 ...»

Annie est partie au ciel la première Henri l'a rejoint au cours de l'été 2011.
 Nos parents sont morts.
 Nous avons retrouvé dans les affaires d'Henri, une photo de nous deux avec Thibaut, notre neveux. Le petit a visiblement moins d'un mois et nous le regardons avec beaucoup de tendresse.
 Henri a écrit :
 -Ils aiment les enfants mais ça va pas être facile pour eux !!!
                                                         


                                                      FIN.
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#Posté le lundi 12 janvier 2015 07:14

Modifié le lundi 12 janvier 2015 07:31


 
CHEZ LE MÉDECIN
 
Depuis plusieurs jours, Martin, mon jeune frère de 18 ans, se plaint d'une douleur légère mais persistante au niveau de l'aine. Comme il fait pas mal de sport, il a d'abord cru à un faux mouvement et qu'après quelques jours de repos, tout rentrerait dans l'ordre. Mais cela dure depuis trois semaines et il a décidé de consulter un médecin. En rentrant chez moi, il m'apprend qu'il a obtenu un rendez-vous dans une demi-heure et me demande de l'accompagner.
- Je ne connais pas ce toubib et vu où la douleur se situe, je préfère que tu m'accompagnes.
- Ne me dis pas que tu es timide?
- Mais non ! Simplement, ça me rassurait.
- Mais ça ne te gênera pas d'y aller avec ton grand frère de 35 ans?
- Mais non, voyons ! Répond-il en riant.
C'est vrai que je le connais bien et je sais combien il apprécie de voir des hommes se retourner sur lui. Il faut dire que avec ses fesses rebondies, il a de quoi faire saliver plus d'un homme gay normalement constitué. Je sais qu'il est homo et je l'accepte comme il est. Je me considère hétéro même si il m'arrive parfois d'avoir des érections quand je rencontre certains mecs qui me plaisent. Ça n'a jamais été plus loin que le fantasme même si je suis très friand de sexe.
Nous sommes seuls dans la salle d'attente, ce qui ne m'étonne pas vu l'heure assez tardive. Nous patientons quelques minutes avant de voir la porte s'ouvrir. Le toubib, qui me semble avoir à peu près le même âge que moi, nous invite à le suivre. Après quelques questions concernant l'origine du mal, il dit à mon jeune frère de s'allonger sur la table de soins.
- Je vais vous demander d'ôter votre pantalon....
La suite ???
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#Posté le samedi 08 août 2015 16:39

L ANGE DE NOEL ....

L ANGE DE NOEL  ....
J'ai les bras occupés. Dans le droit,
je tiens un sac de course pour la soirée,
de ma main gauche je tiens mon fils Antoine, qui va avoir deux ans.
Nous sommes le soir du 24 décembre et pourtant je suis morose. Les gens dans les rues s'activent pour la soirée mais moi je n'ai rien de prévu. Demain, ce fera deux ans qu'Isabelle ma femme est morte en couche. Je n'en veux pas à mon fils qui a su me maintenir hors de l'eau mais je ne peux m'empêcher d'avoir le c½ur lourd en cette période. Bien sûr, ma famille et celle de ma femme ont essayé de me faire venir rien que pour voir leur petit fils mais je me refuse pour l'instant à être heureux pendant cet anniversaire douloureux.
— Papa, pleure !
Antoine m'a fait sortir de ma rêverie alors que nous arrivons à la porte de notre immeuble. Il tire pour s'approcher d'une masse blottie contre le mur. Je l'en empêche en regardant de quoi il s'agit.
Cette masse informe tressaute doucement. Il s'en échappe des pleurs. Je me penche doucement pour demander si tout va bien, mais pour seule réponse les pleurs redoublent. Malgré les lumières de la nuit et la foule dans cette avenue, personne ne s'arrête pour voir de quoi il s'agit. Nous sommes bien les seuls avec mon fils à nous intéresser à cette pauvre âme. Je me baisse pour m'approcher du visage du malheureux, tenant par instinct mon fils derrière moi, et répète ma question. Cette fois un jeune homme qui doit être à peine majeur soulève sa tête et me regarde avec des yeux rougis par les larmes. Il ne dit rien. J'attends une réponse mais rien ne vient.
Je le détaille et découvre un jeune homme blond aux traits angéliques. Autant je suis brun avec des yeux d'un vert foncé, autant il est blond aux yeux bleus.
Il ne ressemble pas à un SDF si bien que je me détends.
— Tu as quelque part où aller ? Lui demandé-je.
Pas de réponse. Je le regarde intensément, il hoche la tête pour me signifier une réponse négative. Je prends conscience que nous sommes le soir du réveillon et que je ne peux dignement pas le laisser ainsi. C'est l'occasion de prouver que Noël permet des miracles.
— Viens avec moi, je t'invite chez moi.
Je m'aperçois tout à coup qu'il ne porte que peu de vêtements sur lui, une simple veste peu épaisse. Il se redresse en glissant le long du mur avec un léger sourire qui se transforme davantage en grimace. Il baisse les yeux et va pour me suivre. J'ouvre la porte, nous montons et entrons chez moi. Il reste derrière moi. Je lui indique le couloir et l'invite à entrer. Je lui propose de gagner le séjour pendant que je pose mon sac dans la cuisine et déshabille Antoine.
Il me faut bien dix minutes pour faire ce que j'ai à faire et lorsque je reviens dans le salon, mon inconnu est debout à attendre.
— Au fait, comment t'appelles-tu ?
Dans un murmure, il me répond Benjamin.
— Et tu as quel âge ?
Je ne voudrais pas avoir à gérer un mineur en fugue,
le soir du réveillon. Il me répond qu'il a dix-huit ans,
soit six de moins que moi.
J'essaie d'engager la conversation mais il reste silencieux.
Je me demande bien ce que je vais pouvoir faire de lui.
Mais tout d'abord, j'ai d'autres préoccupations.
Il faut que je fasse prendre son bain à Antoine.
Je laisse donc Benjamin dans la pièce après l'avoir invité à s'asseoir sur le canapé et vais pour laver mon fils.
Quelques minutes plus tard je reviens pour le trouver endormi sur le canapé. Il semble davantage apaisé ainsi.
Je ne cherche pas à le réveiller et me dis qu'il est temps de nourrir Antoine. Pendant ma préparation,
mon fils s'installe par terre et regarde l'homme endormi.
Moi je suis dans la cuisine à m'activer tout en jetant un ½il régulier dans le séjour.
Tant qu'à faire preuve de charité, je me décide à proposer à Benjamin de manger avec moi. Je n'avais rien pris de spécial et vais devoir partager mon dîner mais au moins j'aurai l'esprit tranquille. Antoine nourri et couché, je décide de réveiller mon inconnu. Je m'approche de lui et pose ma main sur son épaule.
Il se réveille, semblant se demander où il est.
Lorsqu'il me voit, il me sourit faiblement, paraissant apaisé.
Nous dînons rapidement, et je lui propose de regarder la télé.
Bien sûr, les chaînes de télévision diffusent des films de Noël dégoulinant de bons sentiments.
Tout à coup, je ne sais pas pourquoi, alors que la scène joue une crise dans une famille, je sens Benjamin à mes côtés fondre en larme.
Je me retourne, alerté, et je vois le jeune homme la tête dans ses mains. Je m'approche pour le calmer. J'ai l'impression de me revoir il y a deux ans lorsque le médecin vint m'annoncer le décès de ma femme. J'essaie de l'apaiser en lui chuchotant que tout va aller bien, mais je ne sais pas comment m'y prendre. Contre toute attente, il tombe la tête sur mes genoux et pleure allongé ainsi. Je le laisse faire de peur de réveiller mon propre chagrin. Après quelques instants, je pose ma main sur sa tête et lui caresse les cheveux. Doucement, j'essaie de le calmer. Après quelques minutes, ses sanglots diminuent et laisse place à un silence pesant. Il y a bien longtemps que je m'intéresse plus au film. Je regarde ce jeune homme, maintenant majeur,
qui ressemble davantage à un enfant ainsi.
Il contraste avec moi.
Certain trouveraient déplacé qu'un homme brun, poilu,
le look hétéro musclé, tienne sur ses genoux un jeune homme à l'air angélique. Pourtant je n'en ai cure.
Je ne sais pas pourquoi, j'apprécie sa présence là sur mes cuisses.
Je passe mes mains dans ses cheveux, dégageant son front et ses yeux. Il se tourne vers moi pour me regarder.
Ses yeux sont encore rouges de ses pleurs mais il semble m'interroger du regard. Moi je ne me pose aucune question, je lui souris. Il se redresse et vient poser ses lèvres sur les miennes.
Je suis d'abord surpris et puis non, je devais m'y attendre. Je ne résiste pas, me laisse faire, me laisse entraîner dans ce qui va venir.
Il se colle à moi, son corps frêle contre le mien.
Je pose mes mains sur son cou et l'attire davantage à moi, sa langue jouant avec la mienne.
Il me fait basculer sur le canapé
et s'allonge sur moi entre mes cuisses.
Nous restons silencieux pendant que nos corps ondulent
l'un contre l'autre. Je ne sais pas trop quoi faire et essaie de l'imiter. Ses mains glissent sur mes pectoraux alors que les miennes passent sous son t-shirt pour rejoindre sa peau lisse.
Je fais glisser son vêtement au-dessus de ses épaules puis il fait de même. Nos torses sont nus et viennent à la rencontre de l'autre.
Je suis électrisé par la sensation de sa peau contre la mienne.
Il me caresse la queue à travers mon jean mais je crois bien que j'en ai pas besoin pour qu'il me fasse bander, je le suis depuis un moment.
Je le fais se redresser pour nous lever.
Il est interrogatif mais je le prends par la main pour l'attirer dans ma chambre. Je le jette sur le lit et me couche sur lui.
Nos baisers reprennent puis il m'invite à me relever sur lui.
Assis sur son torse, j'attends qu'il m'indique la marche à suivre. Il m'ouvre le pantalon et en sort ma queue raide.
Il la prend en bouche.
Depuis deux ans, je n'ai pas touché une autre femme et c'est la première fois que je fais de telles choses avec un homme. Je me laisse faire, pendant que ses lèvres entourent ma verge.
Je me suis bien masturbé quelques fois mais là
la sensation est nouvelle pour moi.
Ce que je ressens est bien plus intense
que ce que j'ai pu ressentir tout seul.
Nous jouons ainsi de longues minutes, changeant de positions à maintes reprises mais gardant toujours ma queue entre ses lèvres.
Puis il se retourne, allongé sur le ventre,
les fesses relevées il m'invite à découvrir ses fesses. Pour moi c'est nouveau, mais je ne réfléchis pas et lui caresse cette rosette offerte. C'est doux, je désire l'ouvrir.
J'y vais doucement. Il se contorsionne,
j'ai peur de lui faire mal mais en fait il miaule de plaisir.
En le doigtant, je découvre ses couilles et sa queue.
C'est la première fois que je caresse une autre queue que la mienne, ce n'est pas désagréable.L ANGE DE NOEL  ....
Cela devient une lutte érotique entre nous,
je le doigte, me colle à lui, l'embrasse,je bande...
Il me demande alors de le prendre.
Je me penche vers ma table de chevet et en sort une boîte de préservatif.
Je l'avais achetée en me disant que
j'aurais peut-être un jour l'occasion de rencontrer
une nouvelle fille avec qui j'aurais eu envie de coucher
mais cela n'est jamais arrivé et je n'imaginais pas le faire avec un autre homme. J'ouvre le sachet, glisse le latex sur ma queue et viens pénétrer mon partenaire. Il gémit pendant que je l'encule.
La sensation est extraordinaire. Il se cambre toujours davantage pour me faire ressentir davantage de sensations.
Je jouis comme un égoïste dans la capote mais lui ne dit rien.
Nous basculons et il se branle près de moi en me regardant avec un sourire extatique. Lorsqu'il jouit sur son ventre, nous restons là repus de notre aventure.
Nous nous caressons doucement sans rien
dire en nous regardant dans les yeux.
J'ai l'impression enfin que la tristesse qui habitait ses yeux a disparu. Bien malgré moi, je bande de nouveau, lui aussi d'ailleurs. Nos mains se rejoignent sur nos queues.
Nos caresses nous excitent de plus belle.
J'ai envie de le rendre heureux. Je glisse entre ses cuisses et vais prendre sa queue dans la bouche.
Des femmes sucent bien, pourquoi pas moi alors.
Je le suce, ce n'est pas désagréable mais plutôt excitant.
Il sourit alors que je le regarde cherchant son approbation. Lorsque sa queue est bien raide, je l'encapuchonne et vais pour m'empaler dessus. J'ai peur qu'il me déchire, c'est la première fois pour moi. Mais l'excitation est telle que je me suis ouvert sans problème.
Je glisse sur son membre. Son gland écarte mon anus et rentre enfin, c'est un peu douloureux mais je veux le satisfaire.
Je glisse lentement, les pieds sur le lit, les muscles bandés.
Lorsque je sens enfin son aine sur mes fesses, il soupire d'aise.
Il me branle pendant que je m'encule moi-même.
Je n'ai plus mal, la sensation est magnifique.
Il me fait basculer,
la tête hors du lit, lui au-dessus de moi et me fait l'amour ainsi.
Notre rythme cardiaque s'accélère et dans une synchronisation parfaite, nous jouissons ensemble. Il s'effondre sur moi de fatigue, bascule et fait sortir sa queue. Nous restons là et nous endormons.
Je me réveille soudain, en état d'alerte.
Une forme blanche près du lit s'approche.
Je ne peux pas l'avoir oublié, ces cheveux, cette silhouette...
Je vais pour hurler le prénom de ma femme mais elle me fait chut du doigt. Elle sourit, s'approche de Benjamin, se penche sur lui pour lui caresser la tête.
Elle se redresse, embrasse sa main
et fait voler son baiser
jusqu'à moi pour disparaître dans la nuit.
— Papou ! Merci !
Je sors de ma rêverie. Antoine, du haut de ses douze ans
est accroché au cou de Benjamin pour le remercier du cadeau qu'il lui a fait. Benjamin lui me regarde interrogatif.
Je lui souris pour lui dire que tout va bien.
Je n'ai jamais osé lui avouer que j'avais l'assentiment
de ma femme mais depuis ce jour,
je veille sur mon homme comme s'il allait un jour disparaître,
me laissant seul encore une fois avec notre fils.
L ANGE DE NOEL  ....
Tags : récit gay
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#Posté le samedi 19 décembre 2015 18:06

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